Les Sans-Culottes

Aux nobles la culotte de soie, à eux, la carmagnole (veste courte), le pantalon, la chemise et le bonnet phrygien.

Les sans-culottes, issus des classes populaires, jouent un rôle politique majeur à partir d’août 1792. Le Club des Cordeliers, qui leur est ouvert, résonne de leurs interventions où ils se posent en défenseurs intransigeants de la Révolution.

Cette intransigeance se retrouve dans leur participation au Comité de Salut Public. En son sein, deux de leurs chefs, Collot d’Herbois et Billaud-Varenne, seront des artisans zélés de la Terreur.